Il n'y a que Maye...

Influencé par la scène « old school » montpelliéraine des années 2000, Maye expérimente les lettrages, avant de se construire une identité au travers de personnages en perpétuelle évolution. 

Grâce à sa connexion avec l’artiste Momies, son travail monochrome se transforme peu à peu en une recherche acharnée sur les couleurs. Entre la Figuration Libre de Di Rosa et le surréalisme théâtral de Dali, chaque personnage se développe dans un univers onirique marqué par la nature. Comme une histoire dans une même histoire, les barbes fleurissent, les oiseaux s’envolent, les cartes sont jetées.

Depuis toujours attiré par le dessin, Maye déploie ses traits avec une précision subtile. Son souci du détail donne vie à des figures aux membres emmêlés à coups de pinceaux ou de bombes. Des auto-portraits vifs et méticuleux.

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