Mardi 21 Novembre 2023
Les bases d'une bonne "cooloc"
Avant de publier votre annonce pour une nouvelle coloc, mieux vaut être au clair sur ce vous cherchez, histoire de ne pas remballer vos culottes dans un mois.
Synchronisez vos moods
Si vous êtes plutôt d’humeur festive cette année, à vouloir écumer les festivals et tester tous les « happy hours » de la région, évitez peut-être de cohabiter avec un·e étudiant·e en première année de médecine. Et inversement.
Chacun pour soi ou tous pour un ?
Comment envisagez-vous la vie en collectivité ? Chacun·e pour soi ou courses et cuisine communes ? Si aucune règle est gravée dans le plan de travail, il est important d’habiter avec quelqu’un·e qui partage les mêmes envies au départ, pour éviter de se sentir coupable de manger son Big Mac, solo devant la rediff de Koh-Lanta tandis que votre coloc a préparé un curry végétarien pour un régiment.
Scènes de ménage
Il s’agit d’être lucide sur son degré de maniaquerie ou son niveau de laxisme sur les tâches ménagères. Envisagez donc un système d’entretien qui convienne à chacun·e. Cela peut aller des tâches ménagères réparties équitablement sur la semaine au grand nettoyage mensuel une fois que le sol pègue, vraiment (on ne juge personne).
Quid des droits de visite ?
Accordez-vous sur les « droits de visite » des +1 (ou exponentiel·les). Peut-être que le squat du canapé par le énième date Tinder n’est pas toujours bienvenu.
Les bons comptes d'une coloc
Ouvrir un groupe WhatsApp (ou autre) permet d’échanger à propos des petites courses à faire et d’envisager les projets d’apéro ou de dîner à la maison, histoire de ne prendre personne au dépourvu.
Créer un Tricount permet d’être quitte sur les dépenses communes, du PQ aux packs de bières. Et pour éviter de gratter les remboursements, un Lydia partagé (associé éventuellement à une carte de paiement ) évite d’avancer les frais et de creuser son découvert.
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